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Économie d'énergie dans les locaux professionnels
Selon le Code du travail, les locaux tertiaires doivent respecter des normes minimales pour l'apport d'air neuf, dépendant de l'activité des occupants.
Pour une activité de bureau typique, le débit minimal est de 25 m3/h par occupant. Pour les espaces de travail exposés à des pollutions spécifiques, il est préférable de capturer les polluants à la source. Si cela n'est pas possible, un apport suffisant d'air neuf doit être maintenu pour diluer et expulser efficacement ces polluants à l'extérieur. Des guides pratiques, comme celui sur l'assainissement de l'air des locaux de travail, offrent des solutions techniques
pour mettre en œuvre une ventilation efficace. L'assainissement de l'air des locaux de travail, offrent des solutions techniques pour mettre en œuvre une ventilation efficace.
Cette approche permet non seulement de réduire les coûts énergétiques mais aussi de maintenir un cadre de travail sûr et conforme aux réglementations en vigueur.
Pour plus de détails sur les normes de ventilation et les solutions pratiques, consultez les ressources juridiques et techniques pertinentes.
- Code du travail, articles R4222-1 à R4222-26
- Brochure ED 6497 - Publiée par l'INRS
- Note Technique NT 92
MAINTENANCE SIMPLIFIÉE VMC
La gestion et l'entretien des systèmes de ventilation dans les immeubles collectifs sont essentiels. Les entrées d'air et les bouches d'extraction requièrent un entretien minimal, consistant principalement en un dépoussiérage biannuel, une tâche que les résidents peuvent facilement accomplir. Cet entretien régulier prévient les accumulations de poussière et assure le fonctionnement efficace de la ventilation au quotidien. Pour ce qui est des conduits et des équipements plus complexes, l'intervention d'un technicien qualifié est nécessaire.
LE FLÉAU DES PLANTES EN HIVER : LES PUCERONS
Ces petits insectes suceurs de sève peuvent
proliférer rapidement à l'intérieur, surtout en
décembre lorsque nous augmentons la température
de nos foyers, créant un environnement idéal pour
leur reproduction.
Les pucerons se nourrissent de la sève des plantes,
affaiblissant ainsi leur santé et leur croissance. En
hiver, le chauffage intérieur peut réduire l'humidité de
l'air, stressant les plantes et les rendant plus
susceptibles aux infestations de pucerons. Ces
nuisibles peuvent également être apportés à
l'intérieur avec les nouvelles plantes ou celles venant
de l'extérieur pour l'hiver.
