Le décret n°2025-239 du 14 mars 2025 vient actualiser le cadre juridique applicable à la réutilisation des eaux pluviales, des eaux usées traitées et désormais des « eaux impropres à la consommation humaine ».
Une recodification plus qu'une révolution Le texte procède avant tout à une recodification des dispositions existantes issues du décret de 2023. À ce titre, il ne bouleverse pas les principes établis mais les rend plus lisibles et mieux intégrés au sein des différentes réglementations sectorielles (environnement, santé publique, installations industrielles…).
La véritable nouveauté de ce décret réside dans l’introduction d’un encadrement spécifique pour la réutilisation des « eaux impropres à la consommation humaine », terme désormais défini réglementairement. Ces eaux peuvent être valorisées, sous conditions strictes, au sein : des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) des installations nucléaires de base (INB).
Dans un contexte de tension sur la ressource en eau, il illustre la volonté des pouvoirs publics de favoriser une gestion circulaire et raisonnée des eaux non conventionnelles.

À l’approche des chaleurs, il est essentiel de s’assurer du bon fonctionnement des systèmes de ventilation (VMC simple ou double flux). Une VMC mal entretenue peut favoriser l'accumulation d'humidité, de polluants intérieurs, et gêner la régulation thermique des locaux. ERHYG recommande un nettoyage complet des bouches, conduits et caissons, ainsi qu’un contrôle des débits d’air et du bon équilibrage du système. C’est aussi le moment idéal pour vérifier l'état des filtres (notamment en double flux) et les remplacer si nécessaire, afin de limiter les surconsommations .
Avec le retour des températures douces, la blatte germanique devient un nuisible prioritaire à traiter en mai. Très active dans les environnements chauds et humides (locaux techniques, cuisines, gaines), elle prolifère rapidement et peut contaminer les denrées alimentaires tout en véhiculant des pathogènes. ERHYG recommande une surveillance renforcée via la pose de pièges glu et l’inspection des zones à risque, complétée par des traitements ciblés à base de gel insecticide (fipronil ou abamectine) ou de nébulisation si nécessaire. Une intervention rapide évite une infestation massive durant l’été.
